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beaux-belles-sublimes, Posté le vendredi 23 mai 2014 04:37
Ton visage
Ton visage est une symphonie
Qui chante doucement en moi.
Ton visage est une mélodie
Que je répète mille fois.
Ton visage quand tu n’es pas là
Me poursuit partout où je vas
Ton visage quand je suis venu
C’est comme s’il ne m’avait pas vu.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Ton visage s’est illuminé
Quand tu parlais à mon copain.
Et ça m’a brisé de chagrin.
C’est comme si la vie s’arrêtait.
Ton visage se moque de ma tête
Quand je fais rire l’assemblée.
Alors c’est pour moi une fête
Puisqu’au moins tu m’as regardé.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Combien je voudrais le toucher.
Il est parfois si près du mien.
Du bout des doigts du bout des mains
Comme on fait d’une chose sacrée.
Ton visage me tord les boyaux
Car pour moi tu n’as pas un mot
Et ça me laisse un goût amer.
Mon paradis est un enfer.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Ton visage est une symphonie
Qui chante doucement en moi.
Ton visage est une mélodie
Que je répète mille fois…
Esther Granek, Portraits et chansons sans retouches, 1976
angel-demonne59, Posté le vendredi 23 mai 2014 03:23
Ton visage
Ton visage est une symphonie
Qui chante doucement en moi.
Ton visage est une mélodie
Que je répète mille fois.
Ton visage quand tu n’es pas là
Me poursuit partout où je vas
Ton visage quand je suis venu
C’est comme s’il ne m’avait pas vu.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Ton visage s’est illuminé
Quand tu parlais à mon copain.
Et ça m’a brisé de chagrin.
C’est comme si la vie s’arrêtait.
Ton visage se moque de ma tête
Quand je fais rire l’assemblée.
Alors c’est pour moi une fête
Puisqu’au moins tu m’as regardé.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Combien je voudrais le toucher.
Il est parfois si près du mien.
Du bout des doigts du bout des mains
Comme on fait d’une chose sacrée.
Ton visage me tord les boyaux
Car pour moi tu n’as pas un mot
Et ça me laisse un goût amer.
Mon paradis est un enfer.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Ton visage est une symphonie
Qui chante doucement en moi.
Ton visage est une mélodie
Que je répète mille fois…
Esther Granek, Portraits et chansons sans retouches, 1976
boubouilledange, Posté le samedi 12 avril 2014 13:05
plein de bisousssssssssss
pour ta soirée
porte toi bien
bisoussssssssss c@ro
cadeau .................http://youtu.be/Vzgni8NpyKA
francplume, Posté le mercredi 09 avril 2014 04:51
Je vous passe mon dernier petit com avant le 15 avril
Je vais désactiver mon blog pour le 15 avril
Je vous remercie toutes les personnes avec lequel j’ai passé de bon moments.
Depuis l’ouverture de mon blog en mai 2007. Et les échanges de photos
Je vous souhaite a tous une très bonne continuité dans ta vie avec votre familles
Et surtout aussi la santé.
Je vous Embrasse tous très forts
PS : Si vous désiré garder un contact , taper François Rousselle sur facebook,
et l’image est ma petite chienne caniche qui est décédé
yohan-fabrice-forever, Posté le lundi 17 mars 2014 13:26
VIENS VOIR MES NOUVEAUX ARTICLES A LA FIN DE NOTRE BLOG
SUR NOTRE WEEKEND CHEZ NOUS PASSÉS AVEC MANU LE FRERE
DE YOHAN ET SA COPINE MARIE , ET NOTRE SORTIE POUR LA
CAVALCADE DES GEANTS A TOURCOING LE 9 MARS 2014 ET DIS
MOI CE QUE TU EN PENSE , BISOUS .
FREDOMANIA, Posté le jeudi 13 mars 2014 16:17
jeudi 13 mars,
Coucou,
Me revoici sur mon blog après plusieurs journées bien remplies et enchéries
de formidables souvenirs.
J'essaie de rattraper aujourd'hui les commentaires dès que possible.
J'ai assisté à 5 des 6 concerts de Frédéric François à l'Olympia.
Des instants magiques couplés à des étoiles plein les yeux !
Retrouver mon idole sur sa nouvelle tournée ne pouvait qu'être le top !
Je mettrai quelques photos de temps à autre.
Les photos sont marquées de mon pseudo exprès car j'ai eu la malheureuse surprise
de retrouver quelques-uns de mes précédents clichés vendus par des personnes peu scrupuleuses.
Je suis rentrée de Paris malade par contre !
Une angine blanche très contagieuse me rend complètement HS.
Si les antibiotiques ne font pas effet d'ici vendredi midi,
je devrai reconsulter le toubib car je risque une infection des sondes du pacemaker.
J'espère aller vite mieux pour faire encore plein de choses !
PETIT RAPPEL :
Samedi 15 mars auront lieu les dernières BATTLES de THE VOICE.
Tu y verras donc Santo Barracato, le frère de Frédéric François.
Tu peux venir nous rejoindre sur sa page Facebook !
Je te souhaite une bonne semaine.
Bien amicalement.
Véro.
souvenir-hier-aujourdhui, Posté le mercredi 12 mars 2014 07:00
Amitié Fidèle
(Sur la mort d’Iris en 1654.)
Parmi les doux transports d’une amitié fidèle,
Je voyais près d’Iris couler mes heureux jours:
Iris que j’aime encore, et que j’aimerai toujours,
Brûlait des mêmes feux dont je brûlais pour elle:
Quand, par l’ordre du ciel, une fièvre cruelle
M’enleva cet objet de mes tendres amours;
Et, de tous mes plaisirs interrompant le cours,
Me laissa de regrets une suite éternelle.
Ah! qu’un si rude coup étonna mes esprits!
Que je versais de pleurs! que je poussais de cris!
De combien de douleurs ma douleur fut suivie!
Iris, tu fus alors moins à plaindre que moi:
Et, bien qu’un triste sort t’ait fait perdre la vie,
Hélas! en te perdant j’ai perdu plus que toi.
Nicolas Boileau, Poésies
un-bebe-bebe-reborn, Posté le mercredi 12 mars 2014 06:38
Amitié Fidèle
(Sur la mort d’Iris en 1654.)
Parmi les doux transports d’une amitié fidèle,
Je voyais près d’Iris couler mes heureux jours:
Iris que j’aime encore, et que j’aimerai toujours,
Brûlait des mêmes feux dont je brûlais pour elle:
Quand, par l’ordre du ciel, une fièvre cruelle
M’enleva cet objet de mes tendres amours;
Et, de tous mes plaisirs interrompant le cours,
Me laissa de regrets une suite éternelle.
Ah! qu’un si rude coup étonna mes esprits!
Que je versais de pleurs! que je poussais de cris!
De combien de douleurs ma douleur fut suivie!
Iris, tu fus alors moins à plaindre que moi:
Et, bien qu’un triste sort t’ait fait perdre la vie,
Hélas! en te perdant j’ai perdu plus que toi.
Nicolas Boileau, Poésies
beaux-belles-sublimes, Posté le mercredi 12 mars 2014 06:22
Amitié Fidèle
(Sur la mort d’Iris en 1654.)
Parmi les doux transports d’une amitié fidèle,
Je voyais près d’Iris couler mes heureux jours:
Iris que j’aime encore, et que j’aimerai toujours,
Brûlait des mêmes feux dont je brûlais pour elle:
Quand, par l’ordre du ciel, une fièvre cruelle
M’enleva cet objet de mes tendres amours;
Et, de tous mes plaisirs interrompant le cours,
Me laissa de regrets une suite éternelle.
Ah! qu’un si rude coup étonna mes esprits!
Que je versais de pleurs! que je poussais de cris!
De combien de douleurs ma douleur fut suivie!
Iris, tu fus alors moins à plaindre que moi:
Et, bien qu’un triste sort t’ait fait perdre la vie,
Hélas! en te perdant j’ai perdu plus que toi.
Nicolas Boileau, Poésies
angel-demonne59, Posté le mercredi 12 mars 2014 05:35
Amitié Fidèle
(Sur la mort d’Iris en 1654.)
Parmi les doux transports d’une amitié fidèle,
Je voyais près d’Iris couler mes heureux jours:
Iris que j’aime encore, et que j’aimerai toujours,
Brûlait des mêmes feux dont je brûlais pour elle:
Quand, par l’ordre du ciel, une fièvre cruelle
M’enleva cet objet de mes tendres amours;
Et, de tous mes plaisirs interrompant le cours,
Me laissa de regrets une suite éternelle.
Ah! qu’un si rude coup étonna mes esprits!
Que je versais de pleurs! que je poussais de cris!
De combien de douleurs ma douleur fut suivie!
Iris, tu fus alors moins à plaindre que moi:
Et, bien qu’un triste sort t’ait fait perdre la vie,
Hélas! en te perdant j’ai perdu plus que toi.
Nicolas Boileau, Poésies
souvenir-hier-aujourdhui, Posté le lundi 10 mars 2014 06:44
Abri
Dans les lignes de ta main
Pour me plaire j’y veux voir
Que rien ne nous sépare
Et qu’avons même destin.
Dans les lignes de ta main
Je découvre en cherchant
Les signes bienfaisants
De ce qui me convient.
Dans le creux de ta paume
Où ma main se blottit
Je retrouve mon abri
Doux et calme. Comme un baume.
Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978
Poème classé dans Amitié, Amour, Esther Granek.
un-bebe-bebe-reborn, Posté le lundi 10 mars 2014 06:40
Abri
Dans les lignes de ta main
Pour me plaire j’y veux voir
Que rien ne nous sépare
Et qu’avons même destin.
Dans les lignes de ta main
Je découvre en cherchant
Les signes bienfaisants
De ce qui me convient.
Dans le creux de ta paume
Où ma main se blottit
Je retrouve mon abri
Doux et calme. Comme un baume.
Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978
Poème classé dans Amitié, Amour, Esther Granek.
beaux-belles-sublimes, Posté le lundi 10 mars 2014 06:37
Abri
Dans les lignes de ta main
Pour me plaire j’y veux voir
Que rien ne nous sépare
Et qu’avons même destin.
Dans les lignes de ta main
Je découvre en cherchant
Les signes bienfaisants
De ce qui me convient.
Dans le creux de ta paume
Où ma main se blottit
Je retrouve mon abri
Doux et calme. Comme un baume.
Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978
Poème classé dans Amitié, Amour, Esther Granek.
un-enfant-la-vie59, Posté le lundi 10 mars 2014 05:14
Abri
Dans les lignes de ta main
Pour me plaire j’y veux voir
Que rien ne nous sépare
Et qu’avons même destin.
Dans les lignes de ta main
Je découvre en cherchant
Les signes bienfaisants
De ce qui me convient.
Dans le creux de ta paume
Où ma main se blottit
Je retrouve mon abri
Doux et calme. Comme un baume.
Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978
Poème classé dans Amitié, Amour, Esther Granek.
angel-demonne59, Posté le lundi 10 mars 2014 04:26
Abri
Dans les lignes de ta main
Pour me plaire j’y veux voir
Que rien ne nous sépare
Et qu’avons même destin.
Dans les lignes de ta main
Je découvre en cherchant
Les signes bienfaisants
De ce qui me convient.
Dans le creux de ta paume
Où ma main se blottit
Je retrouve mon abri
Doux et calme. Comme un baume.
Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978
Poème classé dans Amitié, Amour, Esther Granek.
yohan-fabrice-forever, Posté le lundi 17 février 2014 08:17
VIENS VOIR LES CADEAUX DE FABRICE
POUR MA SAINT VALENTIN , AINSI QUE
LES NOUVELLES SUR NOTRE MARIAGE ET
MA SANTÉ A LA FIN DE NOTRE BLOG ET
DIS MOI CE QUE TU EN PENSE KISS !
SOUVENIRDU02630, Posté le lundi 17 février 2014 00:36
__♥♥♥_____♥♥♥_____ ♥۩♥۩♥ Mon petit passage ♥۩♥۩♥
__♥_____♥_♥_____♥_
__♥______♥______♥___♥۩♥۩♥ Pour venir te souhaiter ♥۩♥۩♥
___♥___________♥_
_____♥_______♥______♥۩♥۩♥ Une agréable journée ♥۩♥۩♥
_______♥___♥_
_________♥__________♥۩♥۩♥ Un vrai plaisir de passer ♥۩♥۩♥
____♥♥♥_____♥♥♥_
__♥_____♥_♥_____♥___♥۩♥۩♥ sur ton joli blog ♥۩♥۩♥
__♥______♥______♥_
___♥___________♥____♥۩♥۩♥ Je te fais mille bisous ♥۩♥۩♥
_____♥_______♥_
_______♥___♥________♥۩♥۩♥ Therese
FREDOMANIA, Posté le dimanche 16 février 2014 14:58
Dimanche 16 février,
Le changement c'est maintenant !! LOL
Dorénavant je rendrai le même nombre de comms que ce
que je reçois des blogueurs qui passent sur le mien !
Pourquoi je continuerai à passer sur ceux qui ne passent jamais sur le mien ?
Ces trois derniers jours j'ai mis des comms sur plus de 1500 blogs !!
Seulement 180 d'entre eux donnent suite alors que j'y passe des heures !
Ras-le-bol de passer mon temps à mettre des comms sur chacun sans jamais
de retour !
J'occuperai donc plus de temps sur les blogs fidèles comme le tien !
1 comm de toi = 1 comm de moi
5 comms de toi = 5 comms de moi
10 comms de toi = 10 comms de moi
50 comms de toi = 50 comms de moi
(je rigole !! tu ne vas pas en mettre 50 par passage quand même !! mdr)
et ainsi de suite ...
Rassure-toi ! je ne dors pas sur mon blog (quoique .... ça m'arrive !! lol)
Et si je m'absente quelques jours (vu les prochains concerts...), sois rassuré !
je rendrai les comms dès que possible !!
Big bisou.
Véro.
Patou et pascaline et anyta ..................
La Saint-Valentin est terminée mais
je ne vais déguster mon cadeau que d'ici quelques jours ...
Mon homme m'a offert une place supplémentaire à l'Olympia !
Du coup, j'y vais les deux weekends !
Je serai aux spectacles du 28 février et des 1er, 8 et 9 mars !!!
Oh la la !!! comme je suis heureuse !!!!!!!!
Les trois prochains weekends sont donc déjà planifiés !
du 22 au 24 février : direction Valréas pour Récital de Santo
du 28 février au 2 mars : weekend parisien et Olympia de Frédo
et du
7 au 10 mars : retour sur Paris pour l'Olympia de Frédo à nouveau !!!
Bon dimanche !
Véro.
Alessio0096, Posté le dimanche 16 février 2014 07:48
Bonjour
Je passe
Sur ton joli monde
T offrir un café
Et te souhaiter
Une bonne après midi
Suivie d une
Excellente
Soirée
Avec toutes mes amitiés
Dany
un-bebe-bebe-reborn, Posté le vendredi 23 mai 2014 05:05
Ton visage
Ton visage est une symphonie
Qui chante doucement en moi.
Ton visage est une mélodie
Que je répète mille fois.
Ton visage quand tu n’es pas là
Me poursuit partout où je vas
Ton visage quand je suis venu
C’est comme s’il ne m’avait pas vu.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Ton visage s’est illuminé
Quand tu parlais à mon copain.
Et ça m’a brisé de chagrin.
C’est comme si la vie s’arrêtait.
Ton visage se moque de ma tête
Quand je fais rire l’assemblée.
Alors c’est pour moi une fête
Puisqu’au moins tu m’as regardé.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Combien je voudrais le toucher.
Il est parfois si près du mien.
Du bout des doigts du bout des mains
Comme on fait d’une chose sacrée.
Ton visage me tord les boyaux
Car pour moi tu n’as pas un mot
Et ça me laisse un goût amer.
Mon paradis est un enfer.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Ton visage est une symphonie
Qui chante doucement en moi.
Ton visage est une mélodie
Que je répète mille fois…
Esther Granek, Portraits et chansons sans retouches, 1976