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ecris-ta-chronique, Posté le mardi 23 décembre 2014 11:09
cc tu peux voter vivian sur le lien suivant http://ecris-ta-chronique.skyrock.com/3239839651-VOTEZ-VIVIAN-SVP.html merci si tu le fais ;-)
ecris-ta-chronique, Posté le mardi 16 décembre 2014 13:39
cc tu peux voter Vivian sur le lien suivant stp http://ecris-ta-chronique.skyrock.com/ merci si tu le fais.
YOHAN-IS-BACK, Posté le mercredi 19 novembre 2014 17:23
MOI ET MON MARI NOUS AVONS FAIT UN NOUVEAU BLOG
EN COMMUNT DONC VIENS VITE ME LE DEMANDER EN
MESSAGE PRIVÉ ET FAIT MOI UNE DEMANDE EN VIP
SUR CE NOUVEAU BLOG CAR DESORMAIS NOUS SOMMES
PRUDENT , J'EN PARLE DANS MON NOUVEL ARTICLE
A MA DERNIERE PAGE DE MON BLOG PERSO , BISOUS
FREDOMANIA, Posté le jeudi 13 novembre 2014 18:12
Bonsoir,
Je n'avais pas encore expliqué pourquoi j'avais mis mon blog en stand-bye ...
Comme tu le vois sur les photos de mon dernier article, je suis maintenant en fauteuil roulant éléctrique.
Je suis contrainte de m'en servir pour toutes mes sorties maintenant.
En effet, ma santé a décliné ces derniers mois et c'est ce qui explique ma longue absence sur le blog.
Les douleurs diffuses se sont empirées aux membres supérieurs et inférieurs mais surtout dans toute la colonne.
Mes vertèbres cervicales, dorsales et lombaires sont toutes atteintes...
Ma maladie neurologique s'est agravée... et mon foie ne supporte plus aucun antalgique.
Morphine, codéïne, tramadol, cortisone et anti-inflammatoires me sont interdits car ils me causent une pancréatite dès que j'en prends.
Je souffre tellement que l'on m'a prescrit un lit médicalisé à domicile en plus du fauteuil.
Il faut que j'en fasse le moins possible pour que ma maladie n'empire plus...
Je n'avais même plus envie de sortir de chez moi...
Je n'avais pas pu revoir Frédéric François depuis l'Olympia.
Ce weekend je suis quand même allée voir Frédo à Grenoble.
J'en avais besoin et je t'assure que ça m'a fait un bien fou de le revoir ce dimanche.
C'est la première fois que je me trouvais dans ce fauteuil roulant en face de personnes que je connais.
Je n'avais parlé à personne que je serai à ce spectacle et encore moins que je ne serai plus sur mes jambes lors des concerts.
C'est vrai que le regard des gens m'ont blessée mais je ne leur en veux pas car je ne les avais pas avertis.
En tout cas,...
Le spectacle était génial comme d'habitude.
Frédo était en grande forme et a emballé son public grâce à toutes ses jolies mélodies.
Il a fait lever la salle en l'entraînant dans une tarentelle endiablée.
De nombreuses fans ont particulièrement apprécié que Frédo leur dédicace leur programme tendu vers la scène.
A la fin du spectacle je souhaitais voir Frédo.
Je ne pouvais pas accèder jusqu'à lui du fait que la loge était située au second niveau.
L'entourage de Frédo s'est débrouillé et on m'a proposé de monter au 1er niveau via l'ascenseur.
Mais il restait encore ce second niveau pour arriver jusqu'à la loge de mon idole...
Du coup, c'est Frédo lui-même qui est descendu jusqu'à moi.
On a discuté un petit peu de mon blog et de ma santé, et il a eu des mots très réconfortants.
Il a tout fait pour me booster !
Quelques petites photos avec mon Chouchou, un bisou avant le départ... Et je suis repartie de Grenoble le coeur rempli de bonheur.
Bonne nuit.
Véro.
SOUVENIRDU02630, Posté le mercredi 12 novembre 2014 01:01
=----- bonjour_--------.--_--------.--=
♥=----((`'-"``""-'`))=♥
♥=----)-__-_-_-__-(=♥ COUCOU
♥=.---/---(o _ o)---\=♥
♥=----\-*.-( 0 )-*.-/=♥
♥=--- _'-. ._'='_. .-' _=♥ je passe te souhaiter
♥=--/`;#'#'#.-.#'#'#;`\=♥
♥=.-\_))-----'#'---- ((_/=♥
♥=----#.-------*.-..#'=♥
♥=----'#.-------*.-.#'=♥ une bonne très bonne journée
♥=-.---/-'#.----.-.#'-\=♥
♥=...---\-..\'#. .#'/-../=♥ suivi d une bonne après-midi
♥=----((___) '#' (___)♥
♥=-----_--------.--_--------.--=♥ GROS BISOUS
♥♥==♥♥==♥==♥==♥==ton amie Therese♥♥=♥♥==♥♥==♥♥==♥==♥==♥♥
Mamijo17, Posté le mardi 11 novembre 2014 10:06
Une fin d'une journée, est seulement un début d'une nouvelle. Garde ta bonne humeur pour un demain qui doit toujours venir. Garde le courage et l'espoir dans la vie et ne jamais laisser tomber tes rêves bonne nuit.
hommage2, Posté le dimanche 09 novembre 2014 03:30
beaux-belles-sublimes
a écrit : "Misères
"
… Tout logis est exil ; les villages champêtres,
Sans portes et planchers, sans portes et fenêtres,
Font une mine affreuse, ainsi que le corps mort
Montre, en montrant les os, que quelqu’un lui fait tort.
Les loups et les renards et les bêtes sauvages
Tiennent place d’humains, possèdent les villages,
Si bien qu’en même lieu où, en paix, on eut soin
De resserrer le pain, on y cueille le foin.
Si le rustique peut dérober à soi-même
Quelque grain recelé par une peine extrême,
Espérant sans espoir la fin de ses malheurs,
Lors on peut voir coupler troupe de laboureurs,
Et d’un soc attaché faire place en la terre
Pour y semer le blé, le soutien de la guerre ;
Et puis, l’an ensuivant, les misérables yeux
Qui des sueurs du front trempaient, laborieux
Quand, subissant le joug des plus serviles bêtes,
Liés comme des boeufs, ils se couplaient par têtes,
Voyant d’un étranger la ravissante main
Qui leur tire la vie et l’espoir et le grain.
Alors, baignés en pleurs, dans les bois ils retournent ;
Aux aveugles rochers les affligés séjournent ;
Ils vont souffrant la faim, qu’ils portent doucement,
Au prix du déplaisir et infernal tourment
Qu’ils sentirent jadis, quand leurs maisons remplies
De démons acharnés, sépulcres de leurs vies,
Leur servaient de crottons, ou pendus par les doigts
A des cordons tranchants, ou attachés au bois
Et couchés dans le feu, ou de graisses flambantes
Les corps nus tenaillés, ou les plaintes pressantes
De leurs enfants pendus par les pieds, arrachés
Du sein qu’ils empoignaient, des tétins asséchés ;
Ou bien, quand du soldat la diète allouvie
Tirait au lieu de pain de son hôte la vie,
Vengé, mais non saoulé, père et mère meurtris
Laissaient dans les berceaux des enfants si petits
Qu’enserrés de cimois, prisonniers dans leur couche,
Ils mouraient par la faim : de l’innocente bouche
L’âme plaintive allait en un plus heureux lieu
Eclater sa clameur au grand trône de Dieu,
Cependant que les Rois, parés de leur substance,
En pompes et festins trompaient leur conscience,
Étoffaient leur grandeur des ruines d’autrui,
Gras du suc innocent, s’égayant de l’ennui,
Stupides, sans goûter ni pitiés ni merveilles,
Pour les pleurs et les cris sans yeux et sans oreilles…
je ne peux repondretes plus dans mais amis
hommage2, Posté le dimanche 09 novembre 2014 03:22
souvenir-hier-aujourdhui
a écrit : "Misères
"
… Tout logis est exil ; les villages champêtres,
Sans portes et planchers, sans portes et fenêtres,
Font une mine affreuse, ainsi que le corps mort
Montre, en montrant les os, que quelqu’un lui fait tort.
Les loups et les renards et les bêtes sauvages
Tiennent place d’humains, possèdent les villages,
Si bien qu’en même lieu où, en paix, on eut soin
De resserrer le pain, on y cueille le foin.
Si le rustique peut dérober à soi-même
Quelque grain recelé par une peine extrême,
Espérant sans espoir la fin de ses malheurs,
Lors on peut voir coupler troupe de laboureurs,
Et d’un soc attaché faire place en la terre
Pour y semer le blé, le soutien de la guerre ;
Et puis, l’an ensuivant, les misérables yeux
Qui des sueurs du front trempaient, laborieux
Quand, subissant le joug des plus serviles bêtes,
Liés comme des boeufs, ils se couplaient par têtes,
Voyant d’un étranger la ravissante main
Qui leur tire la vie et l’espoir et le grain.
Alors, baignés en pleurs, dans les bois ils retournent ;
Aux aveugles rochers les affligés séjournent ;
Ils vont souffrant la faim, qu’ils portent doucement,
Au prix du déplaisir et infernal tourment
Qu’ils sentirent jadis, quand leurs maisons remplies
De démons acharnés, sépulcres de leurs vies,
Leur servaient de crottons, ou pendus par les doigts
A des cordons tranchants, ou attachés au bois
Et couchés dans le feu, ou de graisses flambantes
Les corps nus tenaillés, ou les plaintes pressantes
De leurs enfants pendus par les pieds, arrachés
Du sein qu’ils empoignaient, des tétins asséchés ;
Ou bien, quand du soldat la diète allouvie
Tirait au lieu de pain de son hôte la vie,
Vengé, mais non saoulé, père et mère meurtris
Laissaient dans les berceaux des enfants si petits
Qu’enserrés de cimois, prisonniers dans leur couche,
Ils mouraient par la faim : de l’innocente bouche
L’âme plaintive allait en un plus heureux lieu
Eclater sa clameur au grand trône de Dieu,
Cependant que les Rois, parés de leur substance,
En pompes et festins trompaient leur conscience,
Étoffaient leur grandeur des ruines d’autrui,
Gras du suc innocent, s’égayant de l’ennui,
Stupides, sans goûter ni pitiés ni merveilles,
Pour les pleurs et les cris sans yeux et sans oreilles…
je ne peux repondre tes plus dans mais amis
FREDOMANIA, Posté le jeudi 06 novembre 2014 18:33
Coucou,
Ma longue absence n'est pas passée inaperçue, je sais...
Parfois on ne peut plus faire les choses que l'on voudrait.
Ma santé m'a donc éloignée un moment de mes habitudes.
Je ne suis pas certaine de pouvoir revenir chaque jour sur les blogs
mais j'essaierai.
J'espère que depuis tout ce temps tout s'est bien passé de ton côté.
Dimanche, mon époux m'accompagnera au concert de Frédo à Grenoble.
Je mettrai quelques photos dans la semaine.
Je ne t'en dis pas plus mais je sais d'avance que tu seras surpris de
voir le changement qui s'est imposé à moi quand tu me verras
sur les photos.
Bien amicalement.
Véro.
souvenir-hier-aujourdhui, Posté le vendredi 19 septembre 2014 07:55
Misères
… Tout logis est exil ; les villages champêtres,
Sans portes et planchers, sans portes et fenêtres,
Font une mine affreuse, ainsi que le corps mort
Montre, en montrant les os, que quelqu’un lui fait tort.
Les loups et les renards et les bêtes sauvages
Tiennent place d’humains, possèdent les villages,
Si bien qu’en même lieu où, en paix, on eut soin
De resserrer le pain, on y cueille le foin.
Si le rustique peut dérober à soi-même
Quelque grain recelé par une peine extrême,
Espérant sans espoir la fin de ses malheurs,
Lors on peut voir coupler troupe de laboureurs,
Et d’un soc attaché faire place en la terre
Pour y semer le blé, le soutien de la guerre ;
Et puis, l’an ensuivant, les misérables yeux
Qui des sueurs du front trempaient, laborieux
Quand, subissant le joug des plus serviles bêtes,
Liés comme des boeufs, ils se couplaient par têtes,
Voyant d’un étranger la ravissante main
Qui leur tire la vie et l’espoir et le grain.
Alors, baignés en pleurs, dans les bois ils retournent ;
Aux aveugles rochers les affligés séjournent ;
Ils vont souffrant la faim, qu’ils portent doucement,
Au prix du déplaisir et infernal tourment
Qu’ils sentirent jadis, quand leurs maisons remplies
De démons acharnés, sépulcres de leurs vies,
Leur servaient de crottons, ou pendus par les doigts
A des cordons tranchants, ou attachés au bois
Et couchés dans le feu, ou de graisses flambantes
Les corps nus tenaillés, ou les plaintes pressantes
De leurs enfants pendus par les pieds, arrachés
Du sein qu’ils empoignaient, des tétins asséchés ;
Ou bien, quand du soldat la diète allouvie
Tirait au lieu de pain de son hôte la vie,
Vengé, mais non saoulé, père et mère meurtris
Laissaient dans les berceaux des enfants si petits
Qu’enserrés de cimois, prisonniers dans leur couche,
Ils mouraient par la faim : de l’innocente bouche
L’âme plaintive allait en un plus heureux lieu
Eclater sa clameur au grand trône de Dieu,
Cependant que les Rois, parés de leur substance,
En pompes et festins trompaient leur conscience,
Étoffaient leur grandeur des ruines d’autrui,
Gras du suc innocent, s’égayant de l’ennui,
Stupides, sans goûter ni pitiés ni merveilles,
Pour les pleurs et les cris sans yeux et sans oreilles…
un-bebe-bebe-reborn, Posté le vendredi 19 septembre 2014 07:46
Misères
… Tout logis est exil ; les villages champêtres,
Sans portes et planchers, sans portes et fenêtres,
Font une mine affreuse, ainsi que le corps mort
Montre, en montrant les os, que quelqu’un lui fait tort.
Les loups et les renards et les bêtes sauvages
Tiennent place d’humains, possèdent les villages,
Si bien qu’en même lieu où, en paix, on eut soin
De resserrer le pain, on y cueille le foin.
Si le rustique peut dérober à soi-même
Quelque grain recelé par une peine extrême,
Espérant sans espoir la fin de ses malheurs,
Lors on peut voir coupler troupe de laboureurs,
Et d’un soc attaché faire place en la terre
Pour y semer le blé, le soutien de la guerre ;
Et puis, l’an ensuivant, les misérables yeux
Qui des sueurs du front trempaient, laborieux
Quand, subissant le joug des plus serviles bêtes,
Liés comme des boeufs, ils se couplaient par têtes,
Voyant d’un étranger la ravissante main
Qui leur tire la vie et l’espoir et le grain.
Alors, baignés en pleurs, dans les bois ils retournent ;
Aux aveugles rochers les affligés séjournent ;
Ils vont souffrant la faim, qu’ils portent doucement,
Au prix du déplaisir et infernal tourment
Qu’ils sentirent jadis, quand leurs maisons remplies
De démons acharnés, sépulcres de leurs vies,
Leur servaient de crottons, ou pendus par les doigts
A des cordons tranchants, ou attachés au bois
Et couchés dans le feu, ou de graisses flambantes
Les corps nus tenaillés, ou les plaintes pressantes
De leurs enfants pendus par les pieds, arrachés
Du sein qu’ils empoignaient, des tétins asséchés ;
Ou bien, quand du soldat la diète allouvie
Tirait au lieu de pain de son hôte la vie,
Vengé, mais non saoulé, père et mère meurtris
Laissaient dans les berceaux des enfants si petits
Qu’enserrés de cimois, prisonniers dans leur couche,
Ils mouraient par la faim : de l’innocente bouche
L’âme plaintive allait en un plus heureux lieu
Eclater sa clameur au grand trône de Dieu,
Cependant que les Rois, parés de leur substance,
En pompes et festins trompaient leur conscience,
Étoffaient leur grandeur des ruines d’autrui,
Gras du suc innocent, s’égayant de l’ennui,
Stupides, sans goûter ni pitiés ni merveilles,
Pour les pleurs et les cris sans yeux et sans oreilles…
beaux-belles-sublimes, Posté le vendredi 19 septembre 2014 07:33
Misères
… Tout logis est exil ; les villages champêtres,
Sans portes et planchers, sans portes et fenêtres,
Font une mine affreuse, ainsi que le corps mort
Montre, en montrant les os, que quelqu’un lui fait tort.
Les loups et les renards et les bêtes sauvages
Tiennent place d’humains, possèdent les villages,
Si bien qu’en même lieu où, en paix, on eut soin
De resserrer le pain, on y cueille le foin.
Si le rustique peut dérober à soi-même
Quelque grain recelé par une peine extrême,
Espérant sans espoir la fin de ses malheurs,
Lors on peut voir coupler troupe de laboureurs,
Et d’un soc attaché faire place en la terre
Pour y semer le blé, le soutien de la guerre ;
Et puis, l’an ensuivant, les misérables yeux
Qui des sueurs du front trempaient, laborieux
Quand, subissant le joug des plus serviles bêtes,
Liés comme des boeufs, ils se couplaient par têtes,
Voyant d’un étranger la ravissante main
Qui leur tire la vie et l’espoir et le grain.
Alors, baignés en pleurs, dans les bois ils retournent ;
Aux aveugles rochers les affligés séjournent ;
Ils vont souffrant la faim, qu’ils portent doucement,
Au prix du déplaisir et infernal tourment
Qu’ils sentirent jadis, quand leurs maisons remplies
De démons acharnés, sépulcres de leurs vies,
Leur servaient de crottons, ou pendus par les doigts
A des cordons tranchants, ou attachés au bois
Et couchés dans le feu, ou de graisses flambantes
Les corps nus tenaillés, ou les plaintes pressantes
De leurs enfants pendus par les pieds, arrachés
Du sein qu’ils empoignaient, des tétins asséchés ;
Ou bien, quand du soldat la diète allouvie
Tirait au lieu de pain de son hôte la vie,
Vengé, mais non saoulé, père et mère meurtris
Laissaient dans les berceaux des enfants si petits
Qu’enserrés de cimois, prisonniers dans leur couche,
Ils mouraient par la faim : de l’innocente bouche
L’âme plaintive allait en un plus heureux lieu
Eclater sa clameur au grand trône de Dieu,
Cependant que les Rois, parés de leur substance,
En pompes et festins trompaient leur conscience,
Étoffaient leur grandeur des ruines d’autrui,
Gras du suc innocent, s’égayant de l’ennui,
Stupides, sans goûter ni pitiés ni merveilles,
Pour les pleurs et les cris sans yeux et sans oreilles…
un-enfant-la-vie59, Posté le vendredi 19 septembre 2014 07:22
Misères
… Tout logis est exil ; les villages champêtres,
Sans portes et planchers, sans portes et fenêtres,
Font une mine affreuse, ainsi que le corps mort
Montre, en montrant les os, que quelqu’un lui fait tort.
Les loups et les renards et les bêtes sauvages
Tiennent place d’humains, possèdent les villages,
Si bien qu’en même lieu où, en paix, on eut soin
De resserrer le pain, on y cueille le foin.
Si le rustique peut dérober à soi-même
Quelque grain recelé par une peine extrême,
Espérant sans espoir la fin de ses malheurs,
Lors on peut voir coupler troupe de laboureurs,
Et d’un soc attaché faire place en la terre
Pour y semer le blé, le soutien de la guerre ;
Et puis, l’an ensuivant, les misérables yeux
Qui des sueurs du front trempaient, laborieux
Quand, subissant le joug des plus serviles bêtes,
Liés comme des boeufs, ils se couplaient par têtes,
Voyant d’un étranger la ravissante main
Qui leur tire la vie et l’espoir et le grain.
Alors, baignés en pleurs, dans les bois ils retournent ;
Aux aveugles rochers les affligés séjournent ;
Ils vont souffrant la faim, qu’ils portent doucement,
Au prix du déplaisir et infernal tourment
Qu’ils sentirent jadis, quand leurs maisons remplies
De démons acharnés, sépulcres de leurs vies,
Leur servaient de crottons, ou pendus par les doigts
A des cordons tranchants, ou attachés au bois
Et couchés dans le feu, ou de graisses flambantes
Les corps nus tenaillés, ou les plaintes pressantes
De leurs enfants pendus par les pieds, arrachés
Du sein qu’ils empoignaient, des tétins asséchés ;
Ou bien, quand du soldat la diète allouvie
Tirait au lieu de pain de son hôte la vie,
Vengé, mais non saoulé, père et mère meurtris
Laissaient dans les berceaux des enfants si petits
Qu’enserrés de cimois, prisonniers dans leur couche,
Ils mouraient par la faim : de l’innocente bouche
L’âme plaintive allait en un plus heureux lieu
Eclater sa clameur au grand trône de Dieu,
Cependant que les Rois, parés de leur substance,
En pompes et festins trompaient leur conscience,
Étoffaient leur grandeur des ruines d’autrui,
Gras du suc innocent, s’égayant de l’ennui,
Stupides, sans goûter ni pitiés ni merveilles,
Pour les pleurs et les cris sans yeux et sans oreilles…
angel-demonne59, Posté le vendredi 19 septembre 2014 07:07
Misères
… Tout logis est exil ; les villages champêtres,
Sans portes et planchers, sans portes et fenêtres,
Font une mine affreuse, ainsi que le corps mort
Montre, en montrant les os, que quelqu’un lui fait tort.
Les loups et les renards et les bêtes sauvages
Tiennent place d’humains, possèdent les villages,
Si bien qu’en même lieu où, en paix, on eut soin
De resserrer le pain, on y cueille le foin.
Si le rustique peut dérober à soi-même
Quelque grain recelé par une peine extrême,
Espérant sans espoir la fin de ses malheurs,
Lors on peut voir coupler troupe de laboureurs,
Et d’un soc attaché faire place en la terre
Pour y semer le blé, le soutien de la guerre ;
Et puis, l’an ensuivant, les misérables yeux
Qui des sueurs du front trempaient, laborieux
Quand, subissant le joug des plus serviles bêtes,
Liés comme des boeufs, ils se couplaient par têtes,
Voyant d’un étranger la ravissante main
Qui leur tire la vie et l’espoir et le grain.
Alors, baignés en pleurs, dans les bois ils retournent ;
Aux aveugles rochers les affligés séjournent ;
Ils vont souffrant la faim, qu’ils portent doucement,
Au prix du déplaisir et infernal tourment
Qu’ils sentirent jadis, quand leurs maisons remplies
De démons acharnés, sépulcres de leurs vies,
Leur servaient de crottons, ou pendus par les doigts
A des cordons tranchants, ou attachés au bois
Et couchés dans le feu, ou de graisses flambantes
Les corps nus tenaillés, ou les plaintes pressantes
De leurs enfants pendus par les pieds, arrachés
Du sein qu’ils empoignaient, des tétins asséchés ;
Ou bien, quand du soldat la diète allouvie
Tirait au lieu de pain de son hôte la vie,
Vengé, mais non saoulé, père et mère meurtris
Laissaient dans les berceaux des enfants si petits
Qu’enserrés de cimois, prisonniers dans leur couche,
Ils mouraient par la faim : de l’innocente bouche
L’âme plaintive allait en un plus heureux lieu
Eclater sa clameur au grand trône de Dieu,
Cependant que les Rois, parés de leur substance,
En pompes et festins trompaient leur conscience,
Étoffaient leur grandeur des ruines d’autrui,
Gras du suc innocent, s’égayant de l’ennui,
Stupides, sans goûter ni pitiés ni merveilles,
Pour les pleurs et les cris sans yeux et sans oreilles…
mdmickael, Posté le lundi 23 juin 2014 14:50
(l) ** Bonsoir*** (l)
c'est avec ma tendresse et mon amitié que je fais
un petit arrêt chez toi pour te souhaiter une agréable
soirée suivie d'une tendre et douce nuit remplie
de doux rêves je t'envoie un panier de roses parsemées
d'étoiles pour que ta nuit soit merveilleuse avec
tout mon amitié Gros Bisous :-) (l)(l)
(l)(l) ton ami mdmickael
SOUVENIRDU02630, Posté le lundi 16 juin 2014 01:32
♥=----- bonjour_--------.--_--------.--=♥
♥=----((`'-"``""-'`))=♥
♥=----)-__-_-_-__-(=♥ COUCOU
♥=.---/---(o _ o)---\=♥
♥=----\-*.-( 0 )-*.-/=♥
♥=--- _'-. ._'='_. .-' _=♥ je passe te souhaiter
♥=--/`;#'#'#.-.#'#'#;`\=♥
♥=.-\_))-----'#'---- ((_/=♥
♥=----#.-------*.-..#'=♥
♥=----'#.-------*.-.#'=♥ une bonne très bonne journée
♥=-.---/-'#.----.-.#'-\=♥
♥=...---\-..\'#. .#'/-../=♥ suivi d une bonne après-midi
♥=----((___) '#' (___)♥
♥=-----_--------.--_--------.--=♥ GROS BISOUS
♥♥==♥♥==♥==♥==♥==♥♥=♥♥==♥♥==♥♥==♥==♥==♥♥ Therese
souvenir-hier-aujourdhui, Posté le vendredi 23 mai 2014 05:22
Ton visage
Ton visage est une symphonie
Qui chante doucement en moi.
Ton visage est une mélodie
Que je répète mille fois.
Ton visage quand tu n’es pas là
Me poursuit partout où je vas
Ton visage quand je suis venu
C’est comme s’il ne m’avait pas vu.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Ton visage s’est illuminé
Quand tu parlais à mon copain.
Et ça m’a brisé de chagrin.
C’est comme si la vie s’arrêtait.
Ton visage se moque de ma tête
Quand je fais rire l’assemblée.
Alors c’est pour moi une fête
Puisqu’au moins tu m’as regardé.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Combien je voudrais le toucher.
Il est parfois si près du mien.
Du bout des doigts du bout des mains
Comme on fait d’une chose sacrée.
Ton visage me tord les boyaux
Car pour moi tu n’as pas un mot
Et ça me laisse un goût amer.
Mon paradis est un enfer.
Tu me fais mal sans le savoir.
Tu me détruis sans le vouloir
Mais je ne peux tourner la page
Et ne connais que ton image.
Ton visage est une symphonie
Qui chante doucement en moi.
Ton visage est une mélodie
Que je répète mille fois…
Esther Granek, Portraits et chansons sans retouches, 1976
YOHAN-IS-BACK, Posté le samedi 27 décembre 2014 06:19
AUJOURD'HUI CE N'EST PAS 1 MAIS 2 NOUVEAUX ARTICLES QUI
T'ATTENDS A LA FIN DE MON BLOG !!!!! DE SUPERBE MONTAGES
QUE NOTRE AMIE BLOGUEUSE : " AIMER-PAR-AMOUR " NOUS A
OFFERT , DIS MOI CE QUE TU EN PENSE ET ENCORE JOYEUSES
FETES DE FIN D'ANNÉES A VOUS TOUS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!